Chaque jour, nous nous accrochons. À nos attentes. À nos peurs. À nos blessures. Et plus on s’y accroche, plus la vie semble nous résister. Dans une vidéo partagée récemment par le Toronto Buddhist Group, le maître Shaolin Shi Heng Yi propose une leçon aussi simple que percutante : « Plus on essaie de retenir quelque chose, plus cela nous échappe. Et plus on force les choses à s’éloigner, plus elles reviennent vers nous. » Il utilise l’image d’un pendule. La vie, selon lui, bouge comme ce balancier.Quand on le pousse fort dans une direction — que ce soit la peur, la douleur ou le refus du changement — il revient avec autant de force.Et quand on veut à tout prix contrôler ce mouvement, la paix, elle, s’enfuit.